« On a souvent refusé au théâtre folklorique russe toute originalité… Toutes ces influences disparates ne s’en trouvent pas moins intégrées à un schéma compositionnel directeur, qui comporte trois actants principaux : tueur / tué / médiateur. La mise à mort, souvent comique (quelquefois tragique), est suivie d’un enterrement (ou d’une résurrection) toujours comique… L’interprétation de cette structure de base conduit à penser que les emprunts, étrangers ou urbains, sont intégrés, assimilés, fondus dans la culture populaire, que l’on peut considérer ici soit comme plus archaïque, soit comme dominante. »